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Vollard,
lui-même, s'essaya à écrire, décrivant ses
mémoires: "Souvenirs d'un marchand de tableaux" qui retrace
ses diverses activités et, fourmillant de petites anecdotes pitoresques,
ses relations avec les artistes de l'époque...
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Initiant
le genre de la biographie d'artiste, il décrit plus particulièrement
ses relations avec notamment Cézanne, Renoir et Degas, dans un
ouvrage qui est une référence pour la connaissance de ces
artistes...
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Son
amitié avec des écrivains comme Félix Fénéon,
mais surtout Alfred Jarry, l'amena à proposer ses services d'éditeur
pour un "Almanach
du père Ubu", collaborant aux épisodes
exotiques des aventures du Père Ubu, illustrés par Bonnard.
Cette
participation l'incita à devenir auteur à part entière
et à
la mort de Jarry, Vollard reprendra les aventures du père Ubu,
"Ubu
à l'hôpital", "Ubu
à l'aviation", "Ubu
à la guerre" illustré par
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Jean
Puy, "Ubu
à laSociété
des nations", "Ubu
au pays des soviets", "La
politique coloniale du père Ubu" illustré
par Rouault...
Ces
ouvrages, malgré leur ton sacarstique et leur peinture absurde
du monde colonial, montrent l'attachement à l'île de la Réunion
et le sentiment d'appartenance à la culture créole. Nostalgie
de son enfance que Vollard affirmera dans sa "Vie
de Sainte-Monique"...
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